30 avril 2008
3
30
/04
/avril
/2008
00:42
C’est l’estomac encore soumis à des convulsions faisant remonter dans ma gorge des restes de soupe pékinoise que je vous écris ce message, mon but premier et non le moindre étant de griller sur le
fil mademoiselle Gima pour un compte rendu de cette soirée, d’ailleurs allez voir sa critique de théâtre, elle m’a dit qu’elle était très bien.
Bref.
Ce soir, je suis allé au Zèbre de Belleville voir un concert de Oldelaf et Monsieur D., accompagnés non pas de leur collègue mexicain Pepito Valdez , retourné à son élevage de lamas de Brie sur Marne après que le groupe aie empoché la bourse que le conseil général des Hauts de Seine leur promettait pour l’embauche d’un intermittent étranger, mais d’un nouveau stagiaire, Firmin, neveu du producteur et narcoleptique.
D’abord, il faut le dire, le Zèbre, comme salle de concert, c’est bien. J’y suis un peu allé pour voir enfin un lieu emblématique de la saga Malaussène de Daniel Pennac, et j’ai pas été déçu. Apparemment, c’est le plus petit cabaret d’Europe, et si ça force les toilettes à être à l’entrée, ça permet d’être tout tout près des spectaculeurs. Nous, on était coincés entre le bar et la scène, à deux mètres de monsieur D. et un des bières à 4 €, mais on voulait pas boire de bière.
Au dessus, le balcon hanté par les VIP ne pose pas de problème, sauf quand des marmot situés au-dessus des musiciens les traitent à tort et à travers de mesquins (en plein silence entre deux chansons).
Donc, ce soir, la salle était bien et j’ai pu faire pipi avant le concert, ce qui était bien aussi, et retrouver ma place, ce qui était mieux, malgré le couple de pénibles qui se bécotait devant moi, voire par-dessus moi, sans que je puisse rien faire, sinon tenter de les éloigner en prétendant que l’un des deux me tripotait.
Heureusement que le concert les a un peu distraits. C’est pas facile de se concentrer sur des bécots en dansant la schlounga ou en braillant le Café ou Nathalie mon amour des JMJ, par exemple.
Ca faisait bien plaisir de retrouver les classiques qu’on chantait dans les rues de Rennes, vaguement imbibé, à des heures du matin.
Ca faisait également plaisir de découvrir des nouvelles chansons, comme « Trahis », bel hommage à Carla B., et d’autres que je ne détaillerai pas par flemme.
Parce que mine de rien, il est déjà presque une heure du mat, et j’ai pas envie de m’étendre plus que nécessaire sur le fait que ces gars sont rigolos.
D’ailleurs, suffit d’entendre.
Bref.
Ce soir, je suis allé au Zèbre de Belleville voir un concert de Oldelaf et Monsieur D., accompagnés non pas de leur collègue mexicain Pepito Valdez , retourné à son élevage de lamas de Brie sur Marne après que le groupe aie empoché la bourse que le conseil général des Hauts de Seine leur promettait pour l’embauche d’un intermittent étranger, mais d’un nouveau stagiaire, Firmin, neveu du producteur et narcoleptique.
D’abord, il faut le dire, le Zèbre, comme salle de concert, c’est bien. J’y suis un peu allé pour voir enfin un lieu emblématique de la saga Malaussène de Daniel Pennac, et j’ai pas été déçu. Apparemment, c’est le plus petit cabaret d’Europe, et si ça force les toilettes à être à l’entrée, ça permet d’être tout tout près des spectaculeurs. Nous, on était coincés entre le bar et la scène, à deux mètres de monsieur D. et un des bières à 4 €, mais on voulait pas boire de bière.
Au dessus, le balcon hanté par les VIP ne pose pas de problème, sauf quand des marmot situés au-dessus des musiciens les traitent à tort et à travers de mesquins (en plein silence entre deux chansons).
Donc, ce soir, la salle était bien et j’ai pu faire pipi avant le concert, ce qui était bien aussi, et retrouver ma place, ce qui était mieux, malgré le couple de pénibles qui se bécotait devant moi, voire par-dessus moi, sans que je puisse rien faire, sinon tenter de les éloigner en prétendant que l’un des deux me tripotait.
Heureusement que le concert les a un peu distraits. C’est pas facile de se concentrer sur des bécots en dansant la schlounga ou en braillant le Café ou Nathalie mon amour des JMJ, par exemple.
Ca faisait bien plaisir de retrouver les classiques qu’on chantait dans les rues de Rennes, vaguement imbibé, à des heures du matin.
Ca faisait également plaisir de découvrir des nouvelles chansons, comme « Trahis », bel hommage à Carla B., et d’autres que je ne détaillerai pas par flemme.
Parce que mine de rien, il est déjà presque une heure du mat, et j’ai pas envie de m’étendre plus que nécessaire sur le fait que ces gars sont rigolos.
D’ailleurs, suffit d’entendre.
Partager cet article
